Légendes sauvages
Chaque objet est fabriqué à la main. Chaque pièce est unique. Les
élèments sont travaillés, poncés, polis, taillés et assemblés. Ils
sont montés ensembles par des chevilles en bois ou colle à bois.
Si vous êtes intéressés par une des œuvres ci-dessous , envoyez moi un
mail à "olivier@geffard.com" en m'indiquant le nom de l'objet qui vous
intéresse.
Dimension : 120mm x 180 mm
Lors d’un séjour en Toscane du nord à Montelateronne, Olivier
Geffard découvre dans ce qu’il restait d’une école désertée
quelques notes et photographies représentant des peintures et
masques d’une civilisation disparue ( le tout oublié dans une
armoire).
Ces archives furent rapportées par un professeur nommé Guido Coen
âgé alors de 85 ans. Il lui raconta que , pendant son voyage de
noces en Amérique du sud, un Indien nommé Schabernack lui vendit,
sur un marché, ces quelques pièces qu’il rapporta en Europe. Ce
fut pour Olivier une révélation : retrouver les traces de cette
peuplade : Hainum.
Pour chercher d’autres traces de ce peuple, il va parcourir près
de 5000 km en bicyclette puis embarque sur le fleuve Nanakam pour
naviguer vers son but. Loin de toute civilisation contemporaine.
Le village était là, posé sur les rives du fleuve. Il passa des
mois en leur compagnie, en utilisant son meilleur passeport : la
peinture, le dessin , prendre des notes et se fondre dans ce
peuple. Il rapporta quantité de talismans, , offrandes, sculptures
et autres objets chamaniques, croyances et porte-bonheur. Restée
longtemps inconnue du public, cette collection est visible
aujourd’hui auprès de quelques collectionneurs et passionnés.